À la rencontre de Julie Wright, la nouvelle directrice nationale de NEV !

Bonjour ! Hello ! Je m’appelle Julie Wright et je suis ravie d’avoir rejoint l’équipe de Nos eaux vitales en tant que nouvelle directrice nationale. Toute transition s’accompagne d’une courbe d’apprentissage importante et je suis reconnaissante envers l’équipe de NEV et l’ancien directeur national Andrew Stegemann pour leur générosité et leurs conseils. L’approche guidée par le cœur de NEV se manifeste dans la manière dont le réseau m’a été présenté et par l’ensemble des travaux qui le soutiennent. Déjà quelques semaines de passées, et on trouve notre rythme et notre chimie de manière à soutenir NEV pour les années à venir.

Un petit mot sur moi : Je transfère mon expérience de mobilisation collective en faveur de la décarbonisation et de la mise en œuvre des objectifs de développement durable des Nations Unies afin de la mettre au service de NEV à l’appui de l’objectif que « toutes les eaux du Canada soient saines d’ici 2030 ». Auparavant, j’étais directrice de « Partners for Action » (Partenaires pour l’action, en anglais) à l’Université de Waterloo, où je me concentrais sur la recherche sur les risques d’inondation et sur la sensibilisation et la préparation des Canadien·ne·s vis-à-vis ces risques.

Je vis et travaille sur les terres de Haldimand, situées sur le territoire traditionnel des Haudenosaunee, des Anishinaabe et des Chonnonton. Bien que j’aie vécu dans de nombreux endroits au cours de ma vie d’adulte, j’ai grandi sur la rivière Grand et je suis revenue dans cette région avec mon mari pour élever nos deux garçons. Je suis également conseillère municipale (en anglais) de la ville de Waterloo en Ontario et je suis profondément inspirée par ce que les collectivités peuvent accomplir lorsqu’elles s’unissent autour d’une cause commune.

D’un bout à l’autre du pays, le froid s’infiltre, les jours raccourcissent et l’on sent que c’est le moment de ralentir, de s’arrêter et de réfléchir. J’ai entamé une période de réflexion un peu plus tôt cette année, car j’ai quitté mes anciennes fonctions et j’ai profité de l’été pour me reposer et me ressourcer. J’ai consacré une partie de mon temps à la lecture, à la randonnée et au jardinage et, comme tant d’autres, l’eau m’a attirée et j’ai passé du temps dans les rivières Kananaskis et Grand. Chaque année, j’observe les changements : À quoi ressemblent les bandes riveraines ? Les gros rochers ont-ils bougé ? Quels oiseaux et insectes vois-je ? L’eau est-elle basse ? Quelle est la quantité de déchets que je vois ?

Je suis sortie de cette phase avec une énergie renouvelée et je suis enthousiasmée par les opportunités qui s’offrent. Bien qu’il y ait beaucoup d’urgences, il y a aussi de bonnes nouvelles. Une nouvelle Agence canadienne de l’eau voit le jour au niveau fédéral et 650 millions de dollars ont été engagés pour soutenir un Plan d’action pour l’eau douce au cours de la prochaine décennie. On a également été encouragé·e·s par l’annonce ce mois-ci d’un accord tripartite entre le gouvernement fédéral, la province de la Colombie-Britannique et les Premières Nations, ainsi que par l’engagement totalisant un milliard de dollars en faveur des objectifs de conservation qui visent à protéger 30 % des terres et des eaux du Canada d’ici 2030.

On demeure déterminé·e·s à partager vos histoires et à amplifier l’impact et les progrès du réseau vers des eaux saines. On est en phase d’écoute et on communique avec vous, membres de notre réseau, pour en savoir plus sur ce dont vous avez besoin à l’aube de 2024. J’ai hâte d’apprendre à vous connaître dans les semaines à venir et de participer à ce voyage avec vous. Vous pouvez me contacter à l’adresse suivante : julie@ourlivingwaters.ca.

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